Quand l'amour nous appelle... {Evy}

13h30. Thomas est sur son lit et il pense à une des seules personnes qui tient une place importante dans sa vie et dans son coeur. Evy. Oui Heaven si vous préférez, pour ceux qui ne font pas partis des "intimes" de la demoiselle. Il ne l'a pas vu depuis hier, c'est-à-dire, la date de sa sortie de l'hôpital, ou il était bien sûr présent pour l'accompagner. Thomas s'en voudra toujours de ne pas avoir su la protéger comme il le fallait. Et cette cicatrice à la main le lui rappellait sans cesse et semblait le narguer dans son incapacité dont il avait fait preuve. Revenons-en arrière. La fusllade. Un coup de feu part. Thomas plonge pour protéger celle qu'il aime et les autres aussi au passage. Il se prend une balle dans la main mais celle-ci la traverse et va se loger dans le ventre de celle qu'il aime. Le sang. La peur. Le meurtre suivie du suicide. Les larmes d'Evy qui comprend tout. Les secours. Et un Thomas plus meurtri que jamais.

Donc oui Thomas n'avait pas vu Evy depuis hier. Et déjà elle lui manquait. Son côté possessif et ultra-protecteur agacait parfois la jeune femme. Mais depuis les derniers évènements comment voulez-vous qu'il en soit autrement. Aussi décida-t-il de lever son arrière-train de son lit bien confortable et d'aller du côté des chambres universitaires des filles pour rendre visite à sa bien aimée. Que voulez-vous elle lui manquer ce n'était pas un crime tout de même si? Parce que si c'était le cas, le jeune Thomas oplaidait coupable sans hésiter, et pouvait facilement prendre la peine à perpiétuété. Il était habillé à son avantage aujourd'hui, avec un joli jean et sa veste en cuir fétiche, qui lui apportait un certain attrait. Il passa rapidement devant la glace, non pas qu'il soit coquet mais tout de même, arranga légèrement ses cheveux qui restèrent néanmoins ébourriffé légèrement, ce qui était parfaitement calculé.

Un simple couloir séparait les chambres des filles de celle des garçons, aussi Thomas savait qu'il allait bientôt la retrouvait. Il espèrait tout de même qu'elle ne soit pas sortie qui l'étonnerait fort^, car elle était encore plutôt fatigué de la terrible expérience de la fusillade. Le long du chemin, Thomas surprit quelques regars intéressé de la part de jeunes femmes, la plupart du temps des filles qu'ils ne connaissaient pas ou très peu mais il n'y prêta aucune attention plus qu'il n'en fallait, ne leur rendant même pas leur sourire charmeur et tape à l'oeil. Il était arrivé devant la chambre qu'il connaissait si bien pour y avoir passer beaucoup de temps en compagnie de Heaven ou même parfois de Constance (pour discuter, ne vous faites pas d'idées ). Son coeur s'accélérait légèrement comme à chaque fois qu'il s'apprêtait à la voir, bien qu'il soit ensemble depuis déjà 11 mois. Il frappa à la porte...

13h00. Apparemment, miss Heaven devait se reposer, pour que ca jambe ait mieux et qu’elle reprenne de ses forces pour affronter la dure réalité des cours. Mon cul oui, elle en avait marre de toujours être allonger, a prier pour ne pas s’endormir parce qu’a chaque fois elle faisait des cauchemar et ça, laissez moi vous le dire, ça faisait tout sauf l,aider a s,en remettre, ça empirais le cas. Cet après-midi, encore, elle restait allonger son lit, en espérant que quelqu’un vienne la distraire, que quelqu,un frappe a cette porte, mais que surtout, elle ne ne plonge pas dans un sommeil mouvementé. Mais dieu, apparemment, ne l’aimais pas et aujourd’hui encore, vers 13h15 elle s’endormit profondément, dans un cauchemar. Le même que d’habitude, els cris de terreur. Les larmes, la voix de thomas, la suppliant de rester avec lui. Elle voyait tout ses visages terrifier, se fusil…

Ses cauchemars tuait a petite Evy, la plongeant dans une torpeur de plus en plus grande, où elle n’avait aucun contrôle. La nuit, le sommeil et les rêves leu faisait peur maintenant, alors qu’avant elle adorait ça. Maintenant, elle ne fait que dire que quand elle dort, elle n’a plus le contrôle et donc, elle ne veux pas dormir, son conscient voulait oublier, effacé tout ça, mais son subconscient continuait de la faire souffrir, comme s’il le voulait. Je vous le dit, Dieu ne l’aimais pas, vraiment pas, il continuait à la faire souffrir en lui rappelant qu’elle n’avait rien fait en le culpabilisant. Son frère, constance et thomas étaient tous là pour elle, à vouloir la remettre sur pieds, lui disant de dormir, de se reposer et qu’elle pourrait reprendre les cours dès qu’elle sera mieux, amis elle refusait l’aide de tout le monde. Personne ne pouvait comprendre, elle avait tout vu et elle n’avait rien fait, elle se culpabilisait a mort, alors que elle n’avait rien pu faire, elle avait été touché et était mourrant sur le couloir ! Elle était pas pour se lever, elle n’avait pas pu, elle était été même trop faible pour prononcer ses adieu, son au revoir a sa soeur

Elle faisait toujours le même cauchemar, en boucle, dès qu’il se terminait elle se réveillait en terreur. Elle ne contrôlait rien. Plus ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas vu son frère, Constance ou thomas, c’était pire. Constance elle l’avait vu il y a deux jours, son frère trois et Thomas elle ne l’avait pas vu de puis trop longtemps. Alors laissez moi vous dire ce cauchemars était horrible, elle se tournait et retournais, elle était rendu au moment où sa sœur se sacrifiait, le coup de feu fut par contre remplacer par Thomas qui cognait à la porte. Elle se redressa d’un bon dans son lit, en pleurant et en sueur

« NON ! »

ce crit était sortit spontanément, tout de suite après que thomas ait cogné. Elle se mit en boule sur son lit, pleurant la tête dans ses mains. Elle en avait marre ! Marre de devoir le revivre encore et encore.

{pas de souci}

Il y a des gens qui sont prêts à tout par amour, d'autres non. Thomas faisait sans aucun doute partie de la première catégorie. Le problème pour Thomas qui est un être qu'on pourrait qualifier sans nul doute d'"entier" c'est qu'une fois qu'il se lance dans une relation (amoureuse ou amicale) il s'y donne a fond, sans compromis. Ca lui avait failli lui couter la vie d'ailleurs en voulant protéger Heaven mais il ne le regrettait pas, si ce n'est de ne pas avoir totalement réussie à arriver à ses fins. Comment regretter de tenter de sauver celle qu'on aime? Impossible. lmais dans ce monde ou le romantisme est mort, où l'amour est une utopie, Thomas était trop ! Trop romatique, trop amoureux, juste trop. Certaines personne sl'avait mis en garde face à cet amour un peu trop inconditionel mais il s'en moquait éperduemment tant qu'Evy demeurait à ses côtés. Et le jour ou il avait failli la perdre fut sans doute le pire de sa vie .

"Ne pars pas, je t'en supplie, reste ! Pour moi, pour tes amis... Je t'aime Evy tu m'entends? Je te défens de me laisser tout seul". Les mots qu'ils avait prononcés lui revenaient sans cesse dans la tête. Thomas n'était pas de ses gens qui ont peur dedire je t'aime mais il n'était pas non plus de ceux qui le disait tout le temps si bien que ca n'avait plus vraiment de sens. Ce n'était pas la première fois qu'il lui avait dit mais jamais son je t'aime n'avait été prononcé avec tant de vigueur et justement d'amour. Peut-être était-ce cela qyui avait fait qu'Evy se soit accroché, si on écarte le fait qu'Evy est de toute façon une battante par nature. Néanmoins alors qu'elle s'en était sortie il sentait qu'elle voulait baisser les bras en s'enfermant dans sa solitude, mais Thomas ne l'entendait pas de cette façon.

Alors qu'il venait juste de frapper à la porte il entendit un "NON" qui venait de la bouche de sa bien-aimée, il reconnaitrait sa voix d'entre milles. Mais ce "NON" l'inquiétait, parce qu'il traduisait un cri déchirant, une peur et un appel au secours au quel il ne pouvait que répondre. aussi ne prit-il pa la peine d'attendre qu'elle lui ouvre. Il ouvrit directement la port avec perte et fracas (d'ailleurs, cette dernière n'était pas fermée à clé) pour voir une Heven transpirante, sortant d'un horrible cauchemar. Il savait que ces derniers temps elle faisait toujours le même, d'ailleurs il l'avait souvent calmée quand il passait ses nuits à l'hôpital pour qu'elle ne soit pas seul. Il n'aimait pas la voir comme ca et son sourire à l'idée de la revoir c'était vite envolée, pour laisser place à une mine inquiète. il s'approcha du lit et s'assitr auprès d'elle avant de la prendre directement dans ses ras. Elle semblait légèrement perdue, encore trop imprégé de cet horrible cauchemar. La tête de la jeune femme sur son épaule, il caressa ses longs chveux blonds, geste qui la calmait autant que possible. Il lui murmura à l'oreille :

Ca va aller Evy, je suis là.... Ca va aller

Certaines personne pense que quelqu,un peu aimer trop. Moi je ne suis pas de cet avis, comment peut-on aimer trop? On a reprocher a Heaven d’aimer trop thomas, au début on lui disait même qu’elle s’entêtait a se dire que ça allait toujours durer. Ceux qui ne savent pas ce que sais que l’amour, ce dise que Thomas et Heaven s’aime trop d’un certains sens on peu le voir comme ça, pour Heaven, thomas était presqu’une drogue, elle ne pouvait pas se passer de sa compagnie trop longtemps et surtout pas ses temps si, sans sombré dans l’ennuie. En fait de puis quelque temps, si elle ne le voyait pas, elle sombrait dans la déprime, était-ce le signe que c’était lui le bon? Vous savez, le prince dont vous rêvez quand vous etes toute petite? Celui qui sera toujours présent pour vous, qui voudras que votre bien et vous promettra de ne jamais vous quittez pour rien au monde? Heaven n’en savait rien, mais elle se plaisait a le croire, pourquoi pas?

Elle avait entendu thomas lui dire je t’aime et la supplier de rester avec lui. C’était bien la dernière parole précise dont elle se souvenait. Evy était combattante de nature, mais elle avait voulu se laisser mourir sur se brancard, elle aurait voulu y mourir, amis le je t’aime de Thomas avait résonné clairement dans sa tête faisant en sorte que son corps, son esprit et son cœur on combattue ensemble pour sa survie et de puis le jours où elle avait ouvert les yeux a l’hôpital et ne faisait plus que survivre a la vie qui devenait de plus en plus dur pour elle. Elle s’enfermait dans sa solitude, dans sa cage invisible, essayant d’oublier tout ça dans une torpeur sans fin. L’étincelle qui brillait jadis dans ses yeux avait disparu pour laisser des yeux bleus ternes à la place yeux éclatant qu’elle avait

Le non pousser par la miss était un cri déchirant du cœur. A peine une seconde plus tard elle entendis sa porte ouvrir rapidement dans un bruit fracassant, apparemment quelqu’un l’avait entendu, bien évidemment, elle avait quand crier comme une barje. Elle ne sais pas trop en combien de temps le tout se produisis mais elle finit dans les bras de thomas qui lui disais des paroles rassurante et étonnamment a tout les coup sa marchais. Sa voix l’apaisait, ses caresses faisaient en sorte qu’elle reprenait conscience de la réalité. De douce larme coulait sur ses joues et finissait sur l’épaule de thomas. Ça allait aller, il était là. Ce n’était qu’un cauchemar tout était finit, elle n’avait plus qu’a passer par-dessus. Elle s’arrêta de pleurer et se détacha un peu de thomas pour essuyer ses larmes, elle en avait marre de pleurer, toujours pleurer. Elle passa ses bras autour du coup de son bien aimé et le serra contre elle, pour sentir la réalité. Elle se répétais sens cesse dans sa tête que tout était finis.

« je t’aime »

Il fallait qu’il le sache, de puis la fusillade, elle avait du le dire presque cent fois a tout ses proche se rendant compte que sa sœur ne savais pas a quel point elle tenait a elle. Tout le monde devait savoir si elle tenait a eux, ils devaient le savoir, parce qu’on ne sais jamais ce que nous réserve demain…

Thomas était inquiet. Il voyait Heaven perdre pied chaque jour de plus en plus sans savoir vraiment comment faire pour la sortir de sa mauvaise passe. Il ne pouvait que comprendre son envie de solitude, il savait lui même que si ca avait été sa petite sœur qui aurait été tué il en aurait surement voulu à la terre en entière, sans plus vouloir jamais parler à personne. Seulement il ne pouvait la laisser seule car il savait que s'il le faisait elle plongerait définitivement, sans espoir d'une "guérison" si on peut appeler ca comme ca. Pouvait-on vraiment guérir de la mort de sa sœur? Non mais on pouvait au moins continuer à vivre, encore fallait-il en avoir envie. Et Thomas sentait dans les yeux de celle qu'il aime que cette envie la quittait petit à petit. Vous vous imaginez un peu? Voir dans les yeux de celle qu'on aime qu'elle n'a plus vraiment envie de vivre. C'est horrible à un point que vous ne pouvez vous imaginer. C'est pour ca que Thomas était bien décidé à se battre pour elle, si elle n'en avait plus l'envie. Il avait bien assez de force pour deux.

Thomas avait une foule de projet pour elle, enfin pour eux comme cette bague de fiançailles qui se trouvait dans sa poche depuis deux semaines. Il avait d’abord voulu attendre la fin de son séjour à l’hôpital avant de lui en parler, puis ensuite qu’elle se rétablisse. Seulement elle ne semblait pas le vouloir et ca lui faisait mal au cœur. Certains vous diront une nouvelle fois que Thomas est fou de vouloir se marier si jeune alors qu’on à la vie devant soi, qu’il est « trop » entier comme il l’entendait souvent pour vouloir se fiancer après seulement 11 mois mais tout paraissait tellement une évidence à ses yeux, surtout depuis la fusillade que personne ne pouvait le faire changer d’avis. Il ne voulait peut-être pas se marier tout de suite car il ne voulait nullement brusquer Heaven mais il voulait qu’elle soit officiellement sa fiancée, qu’il soit rattachée par un lien encore plus fort que leur amour, qu’ils soient quelque chose l’un pour l’autre malgré les épreuves et les tempêtes. Vous l’avez compris la fusillade avait vraiment fait réagir Thomas, preuve que ca l’avait affecté plus qu’on ne le pensait mais il était plus du genre à réfléchir seul sur lui-même, pas besoin de psy ou quoi que ce soit.

Thomas connaissait Evy sur le bout des doigts. Il savait exactement quels gestes faire en différentes situations. Et là tout ce dont elle avait besoin c’était quelqu’un à se raccrocher pour « revenir à elle » et de calmer son chagrin. Les gestes qu’il fit, passer sa main dans ses cheveux, les caresser doucement tout en parlant à voix basse, il les avait tant répété ces derniers temps. Thomas et son optimiste commençait à s’ébranler, il commençait à se demander si son aide lui était utile. Il divaguait dans ses pensées, ne savait plus trop ce qui était vrai ce qui était faux, il était plus ou moins déboussolé face à une situation qui semblait lui échapper. Mais il ne pouvait pas se permettre de faire ca alors qu’Evy allait mal, il ne pouvait douter de lui-même aussi reprit-il ses esprits si on pouvait dire les choses ainsi au mot prononcé par la jeune femme. Un « je t’aime » qui pourrait vous paraître banal mais qui était la plus belle chose au monde que quelqu’un puisse dire à un autre.

Au fond ils avaient cette chance tout les deux de ne pas avoir peur de leurs sentiments respectifs, de leurs attachements l’un envers l’autre comme la plupart des gens pour qui tomber amoureux est une malédiction. Tout ses gens passaient à côté de quelques chose tellement exceptionnel…Certes il y avait des disputes, des divergences leur couple n’était pas parfait mais quand une jolie blonde qui fait battre votre cœur vous dit je t’aime ca n’a pas de prix. Elle avait par la même occasion enlever la tête de son épaule, Thomas la regarda dans les yeux, des yeux différents mais toujours aussi beaux et pures et lui sourit comme il n’avait pas sourit auparavant. Il approcha sa main, essuya une larme qui finissait de couler sur la joue de sa bien-aimée. Heaven, au contact de sa peau contre la sienne ferma quelques instants les yeux et quand elle les rouvrit, Thomas approcha lentement ses lèvres des siennes pour lui donner un baiser presque parfait, dans toute la tendresse qu’il éprouvait pour elle. Un moment d’ultime communion qui dura quelques longs instants, toujours trop courts pour le jeune homme. Il sépara à regret ses lèvres des siennes, front contre front, il la regarda, reprit sa respiration tout en remettant une mèche de cheveux derrière ses oreilles. Il lui fit alors un tendre baiser sur la joue avant de lui dire à l’oreille :

Je t’aime aussi

Il la regarda à nouveau dans les yeux et lui fit comprendre du regard qu’il ne fallait pas qu’elle bouge, il lui fit un baiser sur le front avant de se lever et de se diriger vers le petit coin cuisine de la chambre universitaire. Il en revint avec un verre d’eau qu’il tendit à Heaven, avant de s’asseoir à nouveau à côté d’elle :

Bois un peu…ca te fera du bien

» Quand fraizinette s'en avs les souris dansent